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> Urgences, « last but not least » !

15072009

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urgencess.pngCe soir, pas d’info politique, ni de piqûre de rappel cycliste, mais un simple clin d’oeil à la plus ancienne des séries du soir diffusées en France.
Le 27 juin 1996, un programme d’un nouveau genre était diffusé sur France 2. Pour la première fois, une série télévisée mettait en scène les tribulations d’urgentistes d’un modeste hôpital de Chicago. 13 ans et plus de 300 épisodes plus tard, Urgences s’apprête à tirer sa révérence.

Et au plus grand bonheur des irréductibles fans, encore 3 à 4 millions chaque dimanche soir devant leur télévision. Cette année, les producteurs ont « mis le paquet », tant émotionnellement que financièrement, et font revenir ceux qui ont fait l’originalité de la série, et l’on pourra donc revoir le Dr Greene, l’infirmière Hathaway ou le Dr Ross, personnage qui avait permis le lancement d’un acteur nommé George Clooney.

Rendez-vous le 23 août prochain, pour le clap de fin. « On dégage… »




> Limoges fin prête pour la Grande Boucle

13072009

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tdflimoges.pngDepuis hier soir dimanche et leur arrivée à l’aéroport de Bellegarde, les coureurs du tour de France, fraîchement débarqués de Tarbes, éreintés des ascensions pyrénéennes, peuvent commencer à penser à la plaine, et donc à l’étape qui les fera partir mardi de Limoges, pour Issoudun, dans l’Indre.

Dans la ville, les panneaux jaunes et le site de la mairie rappellent que les cyclistes partiront donc mardi matin vers le Berry via Ambazac et Guéret après une journée de repos chez nous demain. Voici donc les principales informations autour de ces deux journées qui vont brièvement faire de Limoges la capitale mondiale du cyclisme.

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> Saint-Junien, un exemple à suivre ?

12072009

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copiedeinaugurationchaletcorot.jpgJ’étais vendredi au site Corot, à Saint-Junien, pour l’inauguration du nouveau chalet Corot, fruit des efforts de la municipalité de la cité gantière pour redonner à ce site exceptionnel en bord de Glane, où le peintre Jean-Baptiste Camille Corot venait peindre il y a plus de 140 ans, son charme d’antan. Les discours de Marie-Françoise Pérol-Dumont, présidente du conseil général, et de Pierre Allard, maire de la ville, ont permis de mettre en valeur pour ceux qui ne les connaissaient pas, les ambitions et les réalisations remarquables de la seconde ville du département.

Car Saint-Junien, discret chef-lieu de canton, est bien une ville dynamique, comme en témoigne aussi la vitalité démographique démontrée avec la publication des chiffres du recensement en début d’année. Le succès récent des Ostensions ou du centre aquatique, la qualité de la programmation du réussi pôle culturel de la Mégisserie, la mise en valeur du riche patrimoine touristique et l’idée de création d’une cité du cuir sont autant de preuves de l’audace qui est celle de la ville de Saint-Junien.

Comme le glissait Mme Pérol-Dumont, Saint-Junien est l’exemple même de ces collectivités qui ont compris que le développement culturel, patrimonial, sportif et éducatif n’anihilait en rien l’essor économique.

Photo (c) Lucas Destrem : Lucien Coindeau, adjoint chargé du Patrimoine, Jean Duchambon, conseiller général, Marie-Françoise Pérol-Dumont, présidente du Conseil général et Pierre Allard, maire




> Du nouveau à la TCL

11072009

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stcl2009.pngSi l’arrivée du mois de juillet rime souvent avec désertion des limougeauds et résultats d’examen, les premiers jours de l’été sont aussi l’occasion pour la STCL de préparer sa rentrée. Trois nouvelles lignes, la mise en service complète du nouveau pôle Saint-Lazare, de nouveaux titres de transports… la société renouvelle son offre pour répondre au mieux aux besoins de la population.

Les grands bouleversements liés à la construction de la nouvelle clinique Chénieux ont comme vous le savez conduit à la refonte du secteur de Saint-Lazare, avec le prolongement de la ligne 4 du trolley jusque là, prolongement effectif et fonctionnel depuis lundi dernier. Trois autres lignes de bus ont été créées par la TCL. Elles sont plus véritablement des reliquats d’anciennes antennes d’autres lignes.
- la ligne 24 créée à partir d’une branche « occasionnelle » de la ligne 4, et continue jusqu’à Fontgeaudrant.
- la ligne 25 créée à partir d’une autre branche de la ligne 4, et continuant jusqu’au Mas-Blanc.
- la ligne 32, remplaçant le tracé de la ligne 15 jusqu’à Saint-Lazare, puis continuant vers Feytiat en suivant la ligne 35 jusqu’au cimetière puis en la remplaçant jusqu’au Mas-Gauthier.

La STCL propose d’ores et déjà de nouveaux tarifs pour leurs abonnements à l’année, adaptés par tranches d’âges.

La rentrée de septembre devrait voir l’arrivée d’une nouvelle carte à puce, présage de la fin du composteur jaune ? Quoi qu’il en soit, il serait dommage de s’arrêter à ce niveau là. L’échec réel des parking-relais et la faible fréquentation des transports en commun de Limoges en comparaison avec d’autres villes françaises montrent clairement que le réseau TCL n’est pas encore adapté au mieux. Alain Rodet avait promis un développement efficace des transports en commun de la ville. Le renouvellement actuel du parc des véhicules et l’extension des lignes comme à Saint-Lazare est une preuve de cet engagement. Mais nous attendons avec impatience la concrétisation totale de la promesse.




> Quel avenir pour la culture sous Sarkozy ?

10072009

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urbaka2008.pngDès 2007, des inquiétudes se sont fortement faites ressentir dans le monde de la culture, et plus généralement chez tous les défenseurs de l’accès à la culture et de sa pratique. L’élection de Nicolas Sarkozy, qui en janvier 2006 « exprim[ait] [ses] doutes face à la nouveauté et à la création qui vident les salles« , laissait présager d’un avenir sombre.

Ceci s’est démontré ! Il faut savoir que les crédits alloués en 2007 au soutien à l’apprentissage et l’éveil culturel à l’école pour le ministère de la Culture n’ont représenté que 0,008 % du budget de l’Etat. Quel encouragement pour les collectivités locales qui restent tant bien que mal les premiers soutiens de la culture en France…

En Limousin, on sait que depuis deux ans, le festival des Francophonies ou Urbaka vivent dans l’incertitude. Ainsi, pour l’édition 2009 des « Francos », il faut signaler que le ministère des Affaires Etrangères, dont le ministre est un ancien responsable socialiste, retire totalement sa subvention de 135 000 €. Au sujet du festival de théâtre de la rue, proposant chaque année des spectacles de grande qualité, rappelons que l’Etat n’y apporte strictement rien, et que l’organisation doit compter sur le dynamisme de son équipe et la confiance des collectivités.La création d’un Conseil de la création artistique par le président reste un symbole des effets d’annonce chers au locataire de l’Elysée. Un simple « nouveau gadget » pour le PS, défenseur de la culture qu’il soit aux commandes de l’Etat comme à celles d’une municipalité (cf Limoges), qui n’y voit pas grand chose excepté un énième organisme sans influence et sans utilité. Rien de très étonnant de la part d’un chef d’Etat pour qui la richesse culturelle de la France serait incarnée par Jean-Marie Bigard et Mireille Mathieu…

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les subventions au spectacle vivant ont chuté de près de 30 % depuis l’élection de Nicolas Sarkozy. Le président ne s’est pas une seule fois attelé au dossier de la culture, préférant y déléguer une obscure ministre sans pouvoirs et sans projets. L’arrivée de Frédéric Mitterrand, ne paraît hélas pas un gage de sûreté pour les artistes et les citoyens.

Photo : Urbaka 2008 (c) Cristi Urbaka




> Non au travail le dimanche !

9072009

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travaildimanche.pngAlors que l’examen de la proposition de loi sur le travail dominical a commencé depuis maintenant deux jours, rappelons que 6 000 communes dites touristiques seraient ainsi concernées par la future loi, qui prévoit l’ouverture forcée des commerces le dimanche (et bien évidemment sans salaire supérieur).

A Limoges, les commerces pourraient donc être forcés d’ouvrir les dimanches.

Les responsables de la gauche ne cessent de crier haro sur l’Elysée. Elisabeth Guigou y voit

« un non-sens social » par lequel « on va pousser la société vers encore plus d’individualisme« .

Mais les nombreux lapsus et silences de certains parlementaires UMP sont aussi une réelle preuve du flou et du doute qui entourent l’éventualité de la fin annoncée du repos dominical au sein même de la majorité. Au moment où Dominique de Villepin, invité de France Inter ce matin, fustige de nouveau de manière assez vindicative les orientations et les façons de faire du président, le député Hervé Mariton, un de ses proches, laisse lui aussi transparaître ses doutes, en rappelant qu’ »il faut s’assurer que les dérogations au repos du dimanche restent limitées. Le diable peut se loger dans les détails d’un texte, il faut faire très attention à ce que l’on vote. Je ne veux absolument pas que cela devienne notre nouveau modèle social « .

Notre nouveau modèle social, illustré par l’ouverture forcée des magasins parisiens, il y a peu, décidée par le monarque élyséen en personne, sous prétexte de la visite de la famille Obama. Une preuve évidente du pouvoir du premier homme de la République. Enfin, ceci est une autre histoire…

Encore trop d’interrogations, sans assez de réponses, c’est évident. Mais les indications que Sarkozy et le gouvernement ont donné suffisent à laisser penser qu’une réforme du travail dominical serait une atteinte scandaleuse aux principes de la démocratie et aux droits et à la liberté des travailleurs, ainsi qu’une « rupture d’égalité injustifiable entre les commerçants« , selon un communiqué du PS.







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